Me voici vêtue d’un ensemble de lingerie burlesque et d’un bandeau en dentelle que j’ai trouvé dans un colis à ma porte ce matin. Une note élégante avec les mots : À la maîtresse de maison, habillez-vous uniquement dans cette tenue sensuelle et vous serez pris en charge pour votre nuit de rêve à 20h30 précises.

Me voici, les yeux bandés dans un beau néant. La porte s’ouvre doucement, l’air frais extérieur rafraîchit ma peau. Comme un vrai gentleman, il m’emmène dans une voiture. J’ai l’impression d’avoir les fesses assises sur des sièges en cuir, merveilleux. « Alors, ça te plaît ? « , y a-t-il un murmure à mon oreille ?

Comme une écolière timide, je marmonne « oui ». Je sens et j’entends que la voiture quitte la route, et nous arrivons à un domaine. La voiture s’arrête, la portière s’ouvre. Il me guide en toute sécurité vers une chambre chaude et me dépose délicatement sur un lit recouvert d’un drap de satin.

Je souris quand j’entends le bruit typique, une bouteille de champagne se débouche doucement. Cette voix sensuelle à nouveau, me chuchotant à l’oreille: « Voulez-vous boire un verre? » Oui, avec les nerfs qui crient dans mon corps, le champagne apporte un agréable soulagement.

Le verre m’est ensuite enlevé. Je sens des mains caresser mon corps, trop de mains, plusieurs hommes autour de moi, ils sont nus et sentent leur désir sensuel.

Je lâche mes derniers doutes et profite. Je les sens sur mon corps, sur mes seins, sur mon vagin, doux, rapides, lents plus durs. « Tu es une vraie salope! »; on me dit. Normalement, je mettrais un visage en colère pour cela, mais maintenant cela ressemble à un élixir interdit qui me rend super excité à la fois mentalement et physiquement. « Tu es trempée, salope ! ». « Oui, je suis une salope ! » et l’admettre aussi. Plusieurs hommes, plusieurs pénis, tous raides et ô combien merveilleusement gros. Je suis toutes les missions et je m’emballe complètement. Ne sachant pas qui ou quoi et de qui, cela ressemble au moment le plus merveilleux. Au bout d’une heure, légèrement en sueur, le repos vient. Il ne reste qu’un homme, le gentleman. Quand j’enlève le bandeau, je vois le beau visage de mon mari. Merci ma chérie pour cette nuit de rêve.